AVIS DES PARTICIPANTS
Durant les mois d’avril à juin 2011, j’ai eu la chance de suivre dans le bon ordre cet enseignement, trois ateliers avec Abderrahmane Bekiekh : a) stage Langage filmique, b) stage Vocabulaire et grammaire du cinéma, et c) stage Écrire un scénario. Je garde de toute cette formation un souvenir émerveillé car j’ai pris connaissance, pendant ces cours de cinéma, d’outils essentiels qui ont renforcé mon intérêt pour le cinéma. Je ne vois plus des films, je les regarde maintenant avec plus d’attention, consciente de tant de dimensions, notamment liées aux codes et au langage propre à chaque auteur. J’ai aussi appris à distinguer ce qui différencie un réalisateur d’un cinéaste. Abderrahmane Bekiekh est un érudit qui pendant ses différents cours, stages, ateliers de cinéma sait transmettre et partager sa passion pour le cinéma de façon « contagieuse ». Tout le monde devrait participer à ces ateliers pour vraiment saisir en quoi le cinéma est un art à part entière.
Delly Shirazi – Genève
Chargée de projet, communication et médias
J’ai été ravie de suivre, entre autres, le stage B : Vocabulaire et Grammaire du Cinéma et quelques analyses de film (stage D).
Grâce à ce cours, j’ai compris qu’il faut réfléchir avant d’ouvrir sa caméra, réfléchir pendant qu’on tourne, réfléchir pendant qu’on monte.
Prendre du recul par rapport à son histoire, suggérer plutôt que montrer, utiliser des symboles, varier les rythmes pour mettre en haleine et maintenir l’intérêt, montrer ses émotions.
Abderrahmane est un merveilleux transmetteur de savoir et de passion et il sait comment les partager avec ses « élèves ».
On n’oublie pas un film analysé par lui, et ensuite on va au cinéma différemment et avec plus encore de plaisir.
Nelly – Genève
Sociologue, j’ai une passion : le reportage
J’ai suivi les stages A : Initiation au langage filmique, B : Vocabulaire et grammaire du cinéma, et D : Analyses filmiques (plusieurs séries d’analyses de film).
J’ai beaucoup apprécié tous ces stages que j’ai suivis pendant une durée de 4 ans. Cela m’a permis de voir et d’appréhender les films avec un œil nouveau.
Cela m’a donné un deuxième degré de lecture et, en regardant des films, je cherche désormais à mettre en pratique ce que nous avons appris lors de ces stages.
On croit trop souvent que le cinéma n’est que « pur divertissement ».
Après les stages on change RADICALEMENT d’avis car on réalise tout ce qu’il y a derrière ce premier degré.
Milène Rossi – Genève
Licenciée ès Lettres en Histoire de l’art et français
J’ai participé aux quatre stages.
J’ai d’abord apprécié la formule (généralement un week-end condensé).
Elle permet de « plonger » dans le sujet et de s’y concentrer de manière intense.
Le stage A et le stage B sont deux bons stages pour commencer. Ils aident à acquérir un vocabulaire adéquat et des bases qui servent de repère.
Ils permettent de se familiariser rapidement avec un domaine qui n’est pas forcément le nôtre.
Le stage D : Les analyses filmiques permettent de comprendre une œuvre en particulier et une façon de lire les œuvres en général.
Par contre, l’atelier d’analyse et de pratique du scénario n’est, à mon avis, valable que si l’on a déjà une idée de projet et que si l’on est prêt à consacrer du temps à l’écriture.
Le stage C est avant tout un atelier pratique d’écriture du scénario. Donc, pour ma part, je ne le conseille pas à priori à quelqu’un qui est « juste » curieux de comprendre la manière dont se construit et fonctionne un scénario.
Barbara – Genève
Étudiante aux Beaux-Arts
J’ai suivi le stage A et j’ai assisté à toutes les séances d’analyse de films (stage D) depuis 1998.
L’analyse de films m’a permis d’avoir un regard différent sur les réalisations du 7ème art et une meilleure compréhension du langage propre à chaque réalisateur.
Actuellement, je suis prise par d’autres activités, mais dès l’année prochaine je disposerai de plus de temps pour assister à de nouvelles séances « pour les vieux de la vieille » (Merci Abderrahmane).
Je ne peux que recommander de tels cours qui sont un enrichissement sur tous les plans et pas seulement d’un point de vue cinématographique.
Judith Haenggi – Genève
Employée de banque, tombée dans la magie du cinéma depuis la tendre enfance.
J’ai suivi les stages A et B, de même que les analyses filmiques (stage D), auxquelles j’assiste encore aujourd’hui.
Merci pour tout ce que j’ai appris à Cinecursus, pour les discussions et les idées nées grâce à ces cours, et pour les personnes que j’y ai rencontrées.
J’ai toujours beaucoup aimé le cinéma, mais je ne savais pas ce qu’était l’analyse de film. Cela a été pour moi une découverte et un très grand apport.
Ma vision n’est plus la même qu’avant. J’ai appris à mieux voir, à m’arrêter sur les images, à réfléchir au sens de ce que je regardais souvent trop superficiellement. Cela n’a fait qu’augmenter mon intérêt et mon plaisir pour le cinéma.
Je conseille les stages et les analyses filmiques à toute personne qui souhaite élargir ses connaissances, mieux lire les images, partager un intérêt pour le cinéma avec d’autres passionnés.
Brigitte – Genève
Bibliothécaire
A une époque où l’image sous toutes ses formes (fixe, publicitaire, télévision, cinéma, internet, jeux vidéos,…) envahit de plus en plus notre environnement et celui de nos enfants, je pense que les cours d’analyse d’Abderrahmane Bekiekh nous apportent des outils indispensables d’analyse et de compréhension, à utiliser pour soi-même et à transmettre autour de soi.
J’ai en effet eu la chance de suivre plusieurs de ses cours, et au-delà de la richesse intellectuelle, de la découverte de films importants, de la pure portée pédagogique, j’y ai également vécu des moments humains de vrai partage et de grande générosité.
Le stage A, tout d’abord, reste pour moi un très beau souvenir.
C’est certainement l’apprentissage par immersion, où, pendant tout un week-end, sont abordés les différents codes cinématographiques, qui crée d’une part des rapports privilégiés avec les participants et l’enseignant, et d’autre part nous permet – chose rare – d’étudier en profondeur, en prenant le temps, des extraits d’œuvres majeures du patrimoine cinématographique.
Après ce premier Week-end, on sent comme une évidence nouvelle et nécessaire qu’il ne suffit plus de regarder pour voir, mais que pour essayer de pénétrer toutes les couches de cet art merveilleux qu’est le cinéma, il nous faut nous arrêter, questionner l’image, déplacer nos habitudes, changer notre regard et acquérir de véritables outils d’analyse, qui enrichissent non seulement notre bagage culturel et mental, mais notre vie de tous les jours…
C’est donc tout naturellement par ce stage A, que je conseillerais à toute personne curieuse de ce qu’est le langage filmique de débuter sa formation, pour ensuite appliquer dans les autres formules proposées, (B, C ou D) ces premières et fondamentales découvertes.
J’ai moi-même assisté à de nombreuses analyses de films (stage D), qui m’ont fait voir, revoir mais en tout cas toujours découvrir la beauté et la richesse d’oeuvres classiques ou contemporaines d’Europe et du monde.
Comment oublier les commentaires d’Abderrahmane sur « Le Mépris », « La Règle du Jeu » ou encore « Miracle en Alabama », « Home from the Hill », sans oublier « M le Maudit », « Les Temps Modernes » et tant d’autres chefs d’œuvres.
Je croyais connaître ces films, pour la plupart je les avais vus, mais qu’avais-je vu?
C’est à cette question que la fréquentation aux cours Cinecursus m’a permis de répondre et me permet toujours au quotidien de maintenir dans mon rapport aux images la même soif d’exigence et … d’humilité !
Je terminerais en disant que ces quelques remarques n’ont pas constitué pour moi le seul gain, puisque aux cours j’ai également trouvé des amis, et qu’avec Abderrahmane s’est noué un dialogue permanent, chaleureux et authentique sur le cinéma et la vie, sur nos vies qui s’en trouvent dès lors enrichies à tout jamais…
Lucia Nasel – Genève
Enseignante de Français, Education aux Médias et Histoire du Cinéma
Le Stage A m’a permis, en un temps relativement court (un week-end), de découvrir les règles de langage, les codes, qui se cachent derrière ce qu’on pense n’être que d’ « innocentes » images.
Même si tous les réalisateurs ne respectent pas forcément ces codes, ils sont en principe connus de tous et ils les influencent peut-être même encore plus s’ils ne les respectent pas.
Donc connaître ces codes m’a permis précisément de décoder (en partie en tout cas) les films que je ne voyais jusqu’alors que comme un amoncellement d’images vues naïvement et au premier degré.
Connaître les codes permet de décortiquer le fruit filmique pour, après en avoir goûté la saveur extérieure (apparence, esthétique, etc.), en goûter la saveur intérieure (sens réel, chemins plus indirects sur lesquels le réalisateur veut mener le spectateur, etc.).
Le stages D : Ces séries d’analyses filmiques permettent de jeter un nouveau regard plus détaillé sur un film que l’on connaît déjà un peu (il est en effet préférable d’avoir vu au moins une fois le film avant d’assister à son analyse).
En principe les films sélectionnés dans ces séries sont d’une richesse et d’une complexité tout à fait adéquate pour permettre de s’y arrêter quelques heures durant.
Léonard Mach – Genève
Étudiant en droit et licencié en Lettres (Histoire générale)
J’enseigne l’anglais au Collège et Ecole de Commerce Madame de Staël.
J’ai participé au stage A et à quelques analyses de film.
Ce stage A, sur un week-end m’a beaucoup apporté et j’en fais bénéficier mes élèves de temps en temps.
Le décryptage de plusieurs prises de vue et la bande son me restent en mémoire.
Ann Pham-Taylor – Genève
Le stage A et plusieurs séries d’analyse de film du stage D…
Je recommande l’enseignement à Cinecursus à toute personne appelée par le goût de l’analyse, le souci du détail, intéressée à la formation et transformation du regard grâce à la découverte d’indices et de codes cinématographiques qui incitent à l’observation dès le début du film.
Il s’agira alors aussi de la meilleure appréciation d’une présence, celle derrière l’œuvre : celle du cinéaste, son intention, ses messages, sa manière de dire son travail.
Ce parcours, riche en connaissances, est conduit par le partage d’un inlassable plaisir de la réflexion.
Cristina – Genève
Formation aux Beaux-Arts
Les stages A et B :
Ces deux stages m’ont donné une bonne base pour pénétrer la magie du cinéma. Je me suis rendu compte à quel point cette magie n’est possible qu’à travers un travail méticuleux, sérieux, réfléchi et ce, sous tous ses aspects.
La création artistique devient un mélange, bien sûr, de la sensibilité personnelle du réalisateur, de sa capacité à sentir les choses, à les capturer, à les transmettre… mais aussi d’une bonne connaissance de la technique cinématographique et de son langage très riche.
Pour pouvoir mettre en image un discours, une émotion, un message, une réflexion, il faut justement connaître ce qu’est une IMAGE, comment elle prend vie, la puissance qu’elle peut apporter si on sait s’en servir.
Les cours sont très concrets, la théorie est toujours illustrée par des exemples, des extraits de film ; on plonge tête et âme dans le monde du cinéma.
Durant les stages, on étudie le langage cinématographique et les codes qui vont avec.
Ce qui est absolument nécessaire pour une compréhension complète et correcte d’un film.
Une compréhension qui va largement au-delà de la simple émotion.
On oublie la surface affective, esthétique, et on creuse en profondeur, on s’approche du noyau ; et quand on y parvient… une décharge électrique nous traverse et nous réveille du fauteuil que passif nous occupions jusque-là, naïvement assis dans une salle de cinéma.
Le stage D :
J’ai découvert les analyses filmiques d’Abderrahmane il y a une année, et maintenant j’ai l’impression que tout cela m’est devenu indispensable.
Ce sont des cours géniaux, très précieux, qui m’ont permis d’entrer dans un univers jusque-là inconnu.
Un univers que j’aime énormément.
On découvre ce que c’est que » LE CINEMA « , l’immense travail de précision qui se cache derrière toute œuvre sérieuse ; ce qui nous permet de l’apprécier encore plus.
Il ne faut pas craindre qu’une analyse filmique puisse nous gâcher le plaisir d’un film, c’est justement le contraire : le plaisir sera encore plus puissant, on se sentira beaucoup plus proche de l’œuvre après l’avoir découverte.
Le génie de certains films est si bouleversant, si touchant, qu’il me laisse sans voix ou avec plein de mots, en admiration totale.
Je rentre chez moi et j’ai envie d’en savoir plus, de faire des recherches, d’approfondir mes connaissances, de mettre en pratique tout ce que j’ai appris.
Ces analyses nous aident, petit à petit, à augmenter notre sensibilité, notre sens de l’observation, notre capacité critique.
Abderrahmane nous donne les instruments, les moyens, l’expérience pour pouvoir analyser des films, avec lui et les autres participants d’abord, et, ensuite, pour pouvoir se les approprier et essayer de comprendre le cinéma par nous-mêmes.
Abderrahmane est un professeur avec » un P majuscule « .
Il a des connaissances dans plein de domaines différents, ce qui nous apporte, à chaque fois, une vaste palette lors de l’analyse du film.
Il est quelqu’un de très respectueux de chaque personne, il nous stimule, il nous fait réfléchir, il éveille notre curiosité, il sait comment transmettre son savoir, sa passion.
Le cours est ouvert à toute sorte de personnes, on est tous au même niveau, il ne faut pas forcément avoir de l’expérience dans le domaine, cette expérience on l’acquière peu à peu par notre intérêt.
Le choix des films est varié, on touche à des genres, à des années, à des styles très différents.
J’ai compris à quel point le cinéma et la vie sont liés.
Cela est important parce que chaque cours n’est pas seulement une incroyable leçon de cinéma, mais aussi de vie.
Chaque film propose des réflexions, des messages, des philosophies, des clins d’œil sur la vie, dans toute son émotion et sa complexité.
C’est tellement enrichissant.
On ne peut que sortir de la salle de cours pleins d’amour pour le cinéma et pour la vie.
Zoe – 26 ans, Genève
Photographe et camera-woman
Grâce à tous les cours de Cinecursus, mon regard sur le cinéma a été profondément bouleversé, donc changé.
Pourtant, ça n´a pas été évident dès le début !
Parce qu´on s´accroche à des idées fixes, ou par complaisance, c´est toujours difficile de se remettre en question. Et faire bouger ses idées ne se fait pas sans réflexion. Bien au contraire. C´est ce qui a été le plus important pour moi dans cette expérience, à savoir d’acquérir certains outils pour apprendre à regarder différemment et trouver une voix propre pour l´exprimer, au moins essayer.
Je remercie sincèrement Abderrahmane de m´avoir montré ce chemin, même si je ne partage pas toujours nécessairement sa vision. C´est aussi ce qui est enrichissant : avoir la possibilité de se confronter aux autres pour réussir enfin à avoir son propre regard. Quand on aime le cinéma, il faut être prêt à abandonner ses a priori (le premier pas étant d´admettre qu´ils existent !).
Cinecursus m´a emmenée dans des réflexions qui dépassent de beaucoup le regard alerte d´une spectatrice face au cinéma, des réflexions qui relèvent aussi de la vie, tout simplement.
Ne ratez pas cette expérience, l´invitation est faite.
Susana – Genève
Traductrice
J’ai suivi la formation en analyse et écriture de scénario sur une durée de neuf mois (2004).
Elle m’a permis d’acquérir de solides bases théoriques qui m’aident aujourd’hui à mieux construire et retravailler mes scénarios.
J’ai apprécié la rigueur et la qualité de cet enseignement.
Chaque commentaire m’a aidée à mieux me positionner dans ma façon de regarder un film, de l’analyser puis de l’apprécier dans son intégralité.
La disponibilité du professeur envers ses élèves a été l’une des clés de mon envie de continuer à écrire, malgré le fait que l’écriture soit un média difficile d’accès pour moi.
L’imagination, la créativité et les idées sont désormais des qualités que je tente de dompter à l’intérieur de ce merveilleux cadre, qu’est l’écriture de scénario.
Depuis ce cours, j’ai écris et mis en scène quatre spectacles qui ont remporté un franc succès auprès du public.
Catherine Chuard – Genève
Auteur et metteur en scène de pièces de théâtre
Les stages A, B, C, D :
Je recommande vivement les stages d’analyses filmiques à tous ceux qui se passionnent pour le cinéma et qui souhaitent en maîtriser le langage et l’atelier scénario pour ceux qui rêvent d’écrire et qui désirent véritablement faire de leur rêve une réalité.
Catherine – Genève
Fonctionnaire internationale, Formation : linguiste
J’ai participé aux 4 stages :
le stage A : Initiation au langage filmique,
le stage B : Vocabulaire et grammaire du cinéma,
le stage C : Analyse et pratique du scénario,
et le stage D : Analyses filmiques (plusieurs séries d’analyses de film).
Ces enseignements m’ont permis de vraiment faire un bon en avant dans mon évolution « cinématographique » au niveau des codes, du langage filmique, de la mise en scène, de l’écriture de scénario, etc.
Tous ces stages m’ont énormément apporté au point de vue de la vision d’un film et de sa compréhension.
L’avantage avec ce genre d’enseignement et de méthode, c’est que cela vous permet de vous immerger totalement dans une œuvre et après de vous l’approprier.
Cela a donné à mes films une nouvelle ampleur, une plus grande richesse et plusieurs niveaux de lecture.
L’écriture d’un scénario m’a permis d’apprendre des techniques et de me perfectionner.
De plus, la diversité des films proposés et analysés, m’ont permis d’avoir un panorama très large du cinéma.
Un grand moment de plaisir et de réflexion sur le monde qui nous entoure.
Je ne peux que vous conseiller Cinecursus !
Alexandre Bilardo – Genève
Réalisateur diplômé, Concepteur multimédia – Télévision Suisse Romande
Stage A: Langage filmique ; stage D : Analyse de films.
D’abord, la première analyse à laquelle j’ai eu la chance d’assister – Rio Bravo, un western d’Howard Hawks – m’a permis de découvrir que je ne savais pas voir les films.
Depuis, j’apprends toujours, dans chaque analyse, quelque chose de nouveau qui me permet de mieux regarder – et bientôt de faire – des films. »
J’ai participé aux 4 stages :
le stage A : Initiation au langage filmique,
le stage B : Vocabulaire et grammaire du cinéma,
le stage C : Analyse et pratique du scénario,
et le stage D : Analyses filmiques (plusieurs séries d’analyses de film).
Ces enseignements m’ont permis de vraiment faire un bon en avant dans mon évolution « cinématographique » au niveau des codes, du langage filmique, de la mise en scène, de l’écriture de scénario, etc.
Tous ces stages m’ont énormément apporté au point de vue de la vision d’un film et de sa compréhension.
L’avantage avec ce genre d’enseignement et de méthode, c’est que cela vous permet de vous immerger totalement dans une œuvre et après de vous l’approprier.
Cela a donné à mes films une nouvelle ampleur, une plus grande richesse et plusieurs niveaux de lecture.
L’écriture d’un scénario m’a permis d’apprendre des techniques et de me perfectionner.
De plus, la diversité des films proposés et analysés, m’ont permis d’avoir un panorama très large du cinéma.
Un grand moment de plaisir et de réflexion sur le monde qui nous entoure.
Je ne peux que vous conseiller Cinecursus !
Inés – Madrid
Traductrice
Asistí al Stage de fin de semana en el verano del 2001 mientras estudiaba francés en la Universidad de Ginebra.
Es horrible, monstruoso y casi angustioso…
Abderrahmane tiene algo de Víctor Frankenstein !
Quién si no sería capaz de arrancarte los ojos y minuciosamente restaurar las conexiones de éstos a tu cerebro, para después someterte a una acurada selección de fragmentos visuales del Séptimo Arte.
Tras un fin de semana intensivo y fantástico me quedó clara la diferencia entre « mirar » -acción que realizan los ojos- y « ver » – acción que realiza el cerebro -.
Las grandes películas están hechas para que las vean cerebros y no sólo ojos !
Por ello le estoy infinítamente agradecida a Abderrahmane y recomiendo fervorosamente su « terapia » de « despertar visual ».
Merci !
(Je ne suis pas capable d’exprimer tout cela en français… pardon !) Alba
En été 2001, pendant mes études de français à l´Université de Genève, j´ai assisté au stage A : Langage filmique sur un week-end.
C´est horrible, monstrueux, presque angoissant…
Abderrahmane a quelque chose de Victor Frankenstein !
Qui d’autre pourrait t´arracher les yeux et ensuite restaurer minutieusement les liaisons entre tes yeux et ton cerveau et te soumettre une sélection soignée d’extraits du Septième Art.
Après ce week-end intensif et fantastique, j´ai compris clairement la différence entre » regarder » (ce que font les yeux) et » voir » (ce que fait le cerveau).
Les bons films ont été faits pour être vus aussi avec le cerveau et pas seulement avec les yeux !
C´est pourquoi je suis infiniment reconnaissante à Abderrahmane et je recommande à tous sa » thérapie » du » réveil visuel « .
Merci !
(…)
Alba – Barcelona
AVIS DES PARTICIPANTS
Durant les mois d’avril à juin 2011, j’ai eu la chance de suivre dans le bon ordre cet enseignement, trois ateliers avec Abderrahmane Bekiekh : a) stage Langage filmique, b) stage Vocabulaire et grammaire du cinéma, et c) stage Écrire un scénario. Je garde de toute cette formation un souvenir émerveillé car j’ai pris connaissance, pendant ces cours de cinéma, d’outils essentiels qui ont renforcé mon intérêt pour le cinéma. Je ne vois plus des films, je les regarde maintenant avec plus d’attention, consciente de tant de dimensions, notamment liées aux codes et au langage propre à chaque auteur. J’ai aussi appris à distinguer ce qui différencie un réalisateur d’un cinéaste. Abderrahmane Bekiekh est un érudit qui pendant ses différents cours, stages, ateliers de cinéma sait transmettre et partager sa passion pour le cinéma de façon « contagieuse ». Tout le monde devrait participer à ces ateliers pour vraiment saisir en quoi le cinéma est un art à part entière.
Delly Shirazi – Genève
Chargée de projet, communication et médias
J’ai été ravie de suivre, entre autres, le stage B : Vocabulaire et Grammaire du Cinéma et quelques analyses de film (stage D).
Grâce à ce cours, j’ai compris qu’il faut réfléchir avant d’ouvrir sa caméra, réfléchir pendant qu’on tourne, réfléchir pendant qu’on monte.
Prendre du recul par rapport à son histoire, suggérer plutôt que montrer, utiliser des symboles, varier les rythmes pour mettre en haleine et maintenir l’intérêt, montrer ses émotions.
Abderrahmane est un merveilleux transmetteur de savoir et de passion et il sait comment les partager avec ses « élèves ».
On n’oublie pas un film analysé par lui, et ensuite on va au cinéma différemment et avec plus encore de plaisir.
Nelly – Genève
Sociologue, j’ai une passion : le reportage
J’ai suivi les stages A : Initiation au langage filmique, B : Vocabulaire et grammaire du cinéma, et D : Analyses filmiques (plusieurs séries d’analyses de film).
J’ai beaucoup apprécié tous ces stages que j’ai suivis pendant une durée de 4 ans. Cela m’a permis de voir et d’appréhender les films avec un œil nouveau.
Cela m’a donné un deuxième degré de lecture et, en regardant des films, je cherche désormais à mettre en pratique ce que nous avons appris lors de ces stages.
On croit trop souvent que le cinéma n’est que « pur divertissement ».
Après les stages on change RADICALEMENT d’avis car on réalise tout ce qu’il y a derrière ce premier degré.
Milène Rossi – Genève
Licenciée ès Lettres en Histoire de l’art et français
J’ai participé aux quatre stages.
J’ai d’abord apprécié la formule (généralement un week-end condensé).
Elle permet de « plonger » dans le sujet et de s’y concentrer de manière intense.
Le stage A et le stage B sont deux bons stages pour commencer. Ils aident à acquérir un vocabulaire adéquat et des bases qui servent de repère.
Ils permettent de se familiariser rapidement avec un domaine qui n’est pas forcément le nôtre.
Le stage D : Les analyses filmiques permettent de comprendre une œuvre en particulier et une façon de lire les œuvres en général.
Par contre, l’atelier d’analyse et de pratique du scénario n’est, à mon avis, valable que si l’on a déjà une idée de projet et que si l’on est prêt à consacrer du temps à l’écriture.
Le stage C est avant tout un atelier pratique d’écriture du scénario. Donc, pour ma part, je ne le conseille pas à priori à quelqu’un qui est « juste » curieux de comprendre la manière dont se construit et fonctionne un scénario.
Barbara – Genève
Étudiante aux Beaux-Arts
J’ai suivi le stage A et j’ai assisté à toutes les séances d’analyse de films (stage D) depuis 1998.
L’analyse de films m’a permis d’avoir un regard différent sur les réalisations du 7ème art et une meilleure compréhension du langage propre à chaque réalisateur.
Actuellement, je suis prise par d’autres activités, mais dès l’année prochaine je disposerai de plus de temps pour assister à de nouvelles séances « pour les vieux de la vieille » (Merci Abderrahmane).
Je ne peux que recommander de tels cours qui sont un enrichissement sur tous les plans et pas seulement d’un point de vue cinématographique.
Judith Haenggi – Genève
Employée de banque, tombée dans la magie du cinéma depuis la tendre enfance.
J’ai suivi les stages A et B, de même que les analyses filmiques (stage D), auxquelles j’assiste encore aujourd’hui.
Merci pour tout ce que j’ai appris à Cinecursus, pour les discussions et les idées nées grâce à ces cours, et pour les personnes que j’y ai rencontrées.
J’ai toujours beaucoup aimé le cinéma, mais je ne savais pas ce qu’était l’analyse de film. Cela a été pour moi une découverte et un très grand apport.
Ma vision n’est plus la même qu’avant. J’ai appris à mieux voir, à m’arrêter sur les images, à réfléchir au sens de ce que je regardais souvent trop superficiellement. Cela n’a fait qu’augmenter mon intérêt et mon plaisir pour le cinéma.
Je conseille les stages et les analyses filmiques à toute personne qui souhaite élargir ses connaissances, mieux lire les images, partager un intérêt pour le cinéma avec d’autres passionnés.
Brigitte – Genève
Bibliothécaire
A une époque où l’image sous toutes ses formes (fixe, publicitaire, télévision, cinéma, internet, jeux vidéos,…) envahit de plus en plus notre environnement et celui de nos enfants, je pense que les cours d’analyse d’Abderrahmane Bekiekh nous apportent des outils indispensables d’analyse et de compréhension, à utiliser pour soi-même et à transmettre autour de soi.
J’ai en effet eu la chance de suivre plusieurs de ses cours, et au-delà de la richesse intellectuelle, de la découverte de films importants, de la pure portée pédagogique, j’y ai également vécu des moments humains de vrai partage et de grande générosité.
Le stage A, tout d’abord, reste pour moi un très beau souvenir.
C’est certainement l’apprentissage par immersion, où, pendant tout un week-end, sont abordés les différents codes cinématographiques, qui crée d’une part des rapports privilégiés avec les participants et l’enseignant, et d’autre part nous permet – chose rare – d’étudier en profondeur, en prenant le temps, des extraits d’œuvres majeures du patrimoine cinématographique.
Après ce premier Week-end, on sent comme une évidence nouvelle et nécessaire qu’il ne suffit plus de regarder pour voir, mais que pour essayer de pénétrer toutes les couches de cet art merveilleux qu’est le cinéma, il nous faut nous arrêter, questionner l’image, déplacer nos habitudes, changer notre regard et acquérir de véritables outils d’analyse, qui enrichissent non seulement notre bagage culturel et mental, mais notre vie de tous les jours…
C’est donc tout naturellement par ce stage A, que je conseillerais à toute personne curieuse de ce qu’est le langage filmique de débuter sa formation, pour ensuite appliquer dans les autres formules proposées, (B, C ou D) ces premières et fondamentales découvertes.
J’ai moi-même assisté à de nombreuses analyses de films (stage D), qui m’ont fait voir, revoir mais en tout cas toujours découvrir la beauté et la richesse d’oeuvres classiques ou contemporaines d’Europe et du monde.
Comment oublier les commentaires d’Abderrahmane sur « Le Mépris », « La Règle du Jeu » ou encore « Miracle en Alabama », « Home from the Hill », sans oublier « M le Maudit », « Les Temps Modernes » et tant d’autres chefs d’œuvres.
Je croyais connaître ces films, pour la plupart je les avais vus, mais qu’avais-je vu?
C’est à cette question que la fréquentation aux cours Cinecursus m’a permis de répondre et me permet toujours au quotidien de maintenir dans mon rapport aux images la même soif d’exigence et … d’humilité !
Je terminerais en disant que ces quelques remarques n’ont pas constitué pour moi le seul gain, puisque aux cours j’ai également trouvé des amis, et qu’avec Abderrahmane s’est noué un dialogue permanent, chaleureux et authentique sur le cinéma et la vie, sur nos vies qui s’en trouvent dès lors enrichies à tout jamais…
Lucia Nasel – Genève
Enseignante de Français, Education aux Médias et Histoire du Cinéma
Le Stage A m’a permis, en un temps relativement court (un week-end), de découvrir les règles de langage, les codes, qui se cachent derrière ce qu’on pense n’être que d’ « innocentes » images.
Même si tous les réalisateurs ne respectent pas forcément ces codes, ils sont en principe connus de tous et ils les influencent peut-être même encore plus s’ils ne les respectent pas.
Donc connaître ces codes m’a permis précisément de décoder (en partie en tout cas) les films que je ne voyais jusqu’alors que comme un amoncellement d’images vues naïvement et au premier degré.
Connaître les codes permet de décortiquer le fruit filmique pour, après en avoir goûté la saveur extérieure (apparence, esthétique, etc.), en goûter la saveur intérieure (sens réel, chemins plus indirects sur lesquels le réalisateur veut mener le spectateur, etc.).
Le stages D : Ces séries d’analyses filmiques permettent de jeter un nouveau regard plus détaillé sur un film que l’on connaît déjà un peu (il est en effet préférable d’avoir vu au moins une fois le film avant d’assister à son analyse).
En principe les films sélectionnés dans ces séries sont d’une richesse et d’une complexité tout à fait adéquate pour permettre de s’y arrêter quelques heures durant.
Léonard Mach – Genève
Étudiant en droit et licencié en Lettres (Histoire générale)
J’enseigne l’anglais au Collège et Ecole de Commerce Madame de Staël.
J’ai participé au stage A et à quelques analyses de film.
Ce stage A, sur un week-end m’a beaucoup apporté et j’en fais bénéficier mes élèves de temps en temps.
Le décryptage de plusieurs prises de vue et la bande son me restent en mémoire.
Ann Pham-Taylor – Genève
Le stage A et plusieurs séries d’analyse de film du stage D…
Je recommande l’enseignement à Cinecursus à toute personne appelée par le goût de l’analyse, le souci du détail, intéressée à la formation et transformation du regard grâce à la découverte d’indices et de codes cinématographiques qui incitent à l’observation dès le début du film.
Il s’agira alors aussi de la meilleure appréciation d’une présence, celle derrière l’œuvre : celle du cinéaste, son intention, ses messages, sa manière de dire son travail.
Ce parcours, riche en connaissances, est conduit par le partage d’un inlassable plaisir de la réflexion.
Cristina – Genève
Formation aux Beaux-Arts
Les stages A et B :
Ces deux stages m’ont donné une bonne base pour pénétrer la magie du cinéma. Je me suis rendu compte à quel point cette magie n’est possible qu’à travers un travail méticuleux, sérieux, réfléchi et ce, sous tous ses aspects.
La création artistique devient un mélange, bien sûr, de la sensibilité personnelle du réalisateur, de sa capacité à sentir les choses, à les capturer, à les transmettre… mais aussi d’une bonne connaissance de la technique cinématographique et de son langage très riche.
Pour pouvoir mettre en image un discours, une émotion, un message, une réflexion, il faut justement connaître ce qu’est une IMAGE, comment elle prend vie, la puissance qu’elle peut apporter si on sait s’en servir.
Les cours sont très concrets, la théorie est toujours illustrée par des exemples, des extraits de film ; on plonge tête et âme dans le monde du cinéma.
Durant les stages, on étudie le langage cinématographique et les codes qui vont avec.
Ce qui est absolument nécessaire pour une compréhension complète et correcte d’un film.
Une compréhension qui va largement au-delà de la simple émotion.
On oublie la surface affective, esthétique, et on creuse en profondeur, on s’approche du noyau ; et quand on y parvient… une décharge électrique nous traverse et nous réveille du fauteuil que passif nous occupions jusque-là, naïvement assis dans une salle de cinéma.
Le stage D :
J’ai découvert les analyses filmiques d’Abderrahmane il y a une année, et maintenant j’ai l’impression que tout cela m’est devenu indispensable.
Ce sont des cours géniaux, très précieux, qui m’ont permis d’entrer dans un univers jusque-là inconnu.
Un univers que j’aime énormément.
On découvre ce que c’est que » LE CINEMA « , l’immense travail de précision qui se cache derrière toute œuvre sérieuse ; ce qui nous permet de l’apprécier encore plus.
Il ne faut pas craindre qu’une analyse filmique puisse nous gâcher le plaisir d’un film, c’est justement le contraire : le plaisir sera encore plus puissant, on se sentira beaucoup plus proche de l’œuvre après l’avoir découverte.
Le génie de certains films est si bouleversant, si touchant, qu’il me laisse sans voix ou avec plein de mots, en admiration totale.
Je rentre chez moi et j’ai envie d’en savoir plus, de faire des recherches, d’approfondir mes connaissances, de mettre en pratique tout ce que j’ai appris.
Ces analyses nous aident, petit à petit, à augmenter notre sensibilité, notre sens de l’observation, notre capacité critique.
Abderrahmane nous donne les instruments, les moyens, l’expérience pour pouvoir analyser des films, avec lui et les autres participants d’abord, et, ensuite, pour pouvoir se les approprier et essayer de comprendre le cinéma par nous-mêmes.
Abderrahmane est un professeur avec » un P majuscule « .
Il a des connaissances dans plein de domaines différents, ce qui nous apporte, à chaque fois, une vaste palette lors de l’analyse du film.
Il est quelqu’un de très respectueux de chaque personne, il nous stimule, il nous fait réfléchir, il éveille notre curiosité, il sait comment transmettre son savoir, sa passion.
Le cours est ouvert à toute sorte de personnes, on est tous au même niveau, il ne faut pas forcément avoir de l’expérience dans le domaine, cette expérience on l’acquière peu à peu par notre intérêt.
Le choix des films est varié, on touche à des genres, à des années, à des styles très différents.
J’ai compris à quel point le cinéma et la vie sont liés.
Cela est important parce que chaque cours n’est pas seulement une incroyable leçon de cinéma, mais aussi de vie.
Chaque film propose des réflexions, des messages, des philosophies, des clins d’œil sur la vie, dans toute son émotion et sa complexité.
C’est tellement enrichissant.
On ne peut que sortir de la salle de cours pleins d’amour pour le cinéma et pour la vie.
Zoe – 26 ans, Genève
Photographe et camera-woman
Grâce à tous les cours de Cinecursus, mon regard sur le cinéma a été profondément bouleversé, donc changé.
Pourtant, ça n´a pas été évident dès le début !
Parce qu´on s´accroche à des idées fixes, ou par complaisance, c´est toujours difficile de se remettre en question. Et faire bouger ses idées ne se fait pas sans réflexion. Bien au contraire. C´est ce qui a été le plus important pour moi dans cette expérience, à savoir d’acquérir certains outils pour apprendre à regarder différemment et trouver une voix propre pour l´exprimer, au moins essayer.
Je remercie sincèrement Abderrahmane de m´avoir montré ce chemin, même si je ne partage pas toujours nécessairement sa vision. C´est aussi ce qui est enrichissant : avoir la possibilité de se confronter aux autres pour réussir enfin à avoir son propre regard. Quand on aime le cinéma, il faut être prêt à abandonner ses a priori (le premier pas étant d´admettre qu´ils existent !).
Cinecursus m´a emmenée dans des réflexions qui dépassent de beaucoup le regard alerte d´une spectatrice face au cinéma, des réflexions qui relèvent aussi de la vie, tout simplement.
Ne ratez pas cette expérience, l´invitation est faite.
Susana – Genève
Traductrice
J’ai suivi la formation en analyse et écriture de scénario sur une durée de neuf mois (2004).
Elle m’a permis d’acquérir de solides bases théoriques qui m’aident aujourd’hui à mieux construire et retravailler mes scénarios.
J’ai apprécié la rigueur et la qualité de cet enseignement.
Chaque commentaire m’a aidée à mieux me positionner dans ma façon de regarder un film, de l’analyser puis de l’apprécier dans son intégralité.
La disponibilité du professeur envers ses élèves a été l’une des clés de mon envie de continuer à écrire, malgré le fait que l’écriture soit un média difficile d’accès pour moi.
L’imagination, la créativité et les idées sont désormais des qualités que je tente de dompter à l’intérieur de ce merveilleux cadre, qu’est l’écriture de scénario.
Depuis ce cours, j’ai écris et mis en scène quatre spectacles qui ont remporté un franc succès auprès du public.
Catherine Chuard – Genève
Auteur et metteur en scène de pièces de théâtre
Les stages A, B, C, D :
Je recommande vivement les stages d’analyses filmiques à tous ceux qui se passionnent pour le cinéma et qui souhaitent en maîtriser le langage et l’atelier scénario pour ceux qui rêvent d’écrire et qui désirent véritablement faire de leur rêve une réalité.
Catherine – Genève
Fonctionnaire internationale, Formation : linguiste
J’ai participé aux 4 stages :
le stage A : Initiation au langage filmique,
le stage B : Vocabulaire et grammaire du cinéma,
le stage C : Analyse et pratique du scénario,
et le stage D : Analyses filmiques (plusieurs séries d’analyses de film).
Ces enseignements m’ont permis de vraiment faire un bon en avant dans mon évolution « cinématographique » au niveau des codes, du langage filmique, de la mise en scène, de l’écriture de scénario, etc.
Tous ces stages m’ont énormément apporté au point de vue de la vision d’un film et de sa compréhension.
L’avantage avec ce genre d’enseignement et de méthode, c’est que cela vous permet de vous immerger totalement dans une œuvre et après de vous l’approprier.
Cela a donné à mes films une nouvelle ampleur, une plus grande richesse et plusieurs niveaux de lecture.
L’écriture d’un scénario m’a permis d’apprendre des techniques et de me perfectionner.
De plus, la diversité des films proposés et analysés, m’ont permis d’avoir un panorama très large du cinéma.
Un grand moment de plaisir et de réflexion sur le monde qui nous entoure.
Je ne peux que vous conseiller Cinecursus !
Alexandre Bilardo – Genève
Réalisateur diplômé, Concepteur multimédia – Télévision Suisse Romande
Stage A: Langage filmique ; stage D : Analyse de films.
D’abord, la première analyse à laquelle j’ai eu la chance d’assister – Rio Bravo, un western d’Howard Hawks – m’a permis de découvrir que je ne savais pas voir les films.
Depuis, j’apprends toujours, dans chaque analyse, quelque chose de nouveau qui me permet de mieux regarder – et bientôt de faire – des films. »
J’ai participé aux 4 stages :
le stage A : Initiation au langage filmique,
le stage B : Vocabulaire et grammaire du cinéma,
le stage C : Analyse et pratique du scénario,
et le stage D : Analyses filmiques (plusieurs séries d’analyses de film).
Ces enseignements m’ont permis de vraiment faire un bon en avant dans mon évolution « cinématographique » au niveau des codes, du langage filmique, de la mise en scène, de l’écriture de scénario, etc.
Tous ces stages m’ont énormément apporté au point de vue de la vision d’un film et de sa compréhension.
L’avantage avec ce genre d’enseignement et de méthode, c’est que cela vous permet de vous immerger totalement dans une œuvre et après de vous l’approprier.
Cela a donné à mes films une nouvelle ampleur, une plus grande richesse et plusieurs niveaux de lecture.
L’écriture d’un scénario m’a permis d’apprendre des techniques et de me perfectionner.
De plus, la diversité des films proposés et analysés, m’ont permis d’avoir un panorama très large du cinéma.
Un grand moment de plaisir et de réflexion sur le monde qui nous entoure.
Je ne peux que vous conseiller Cinecursus !
Inés – Madrid
Traductrice
Asistí al Stage de fin de semana en el verano del 2001 mientras estudiaba francés en la Universidad de Ginebra.
Es horrible, monstruoso y casi angustioso…
Abderrahmane tiene algo de Víctor Frankenstein !
Quién si no sería capaz de arrancarte los ojos y minuciosamente restaurar las conexiones de éstos a tu cerebro, para después someterte a una acurada selección de fragmentos visuales del Séptimo Arte.
Tras un fin de semana intensivo y fantástico me quedó clara la diferencia entre « mirar » -acción que realizan los ojos- y « ver » – acción que realiza el cerebro -.
Las grandes películas están hechas para que las vean cerebros y no sólo ojos !
Por ello le estoy infinítamente agradecida a Abderrahmane y recomiendo fervorosamente su « terapia » de « despertar visual ».
Merci !
(Je ne suis pas capable d’exprimer tout cela en français… pardon !) Alba
En été 2001, pendant mes études de français à l´Université de Genève, j´ai assisté au stage A : Langage filmique sur un week-end.
C´est horrible, monstrueux, presque angoissant…
Abderrahmane a quelque chose de Victor Frankenstein !
Qui d’autre pourrait t´arracher les yeux et ensuite restaurer minutieusement les liaisons entre tes yeux et ton cerveau et te soumettre une sélection soignée d’extraits du Septième Art.
Après ce week-end intensif et fantastique, j´ai compris clairement la différence entre » regarder » (ce que font les yeux) et » voir » (ce que fait le cerveau).
Les bons films ont été faits pour être vus aussi avec le cerveau et pas seulement avec les yeux !
C´est pourquoi je suis infiniment reconnaissante à Abderrahmane et je recommande à tous sa » thérapie » du » réveil visuel « .
Merci !
(…)
Alba – Barcelona